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Le NÅ“ud FG

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Le nœud FG, désormais un incontournable de mon répertoire

On m’en aura parlé longtemps avant que je ne décide de m’y mettre.

Pendant des années je lui ai préféré le nÅ“ud de chirurgien, bien suffisant lorsque l’on pêche du bord.

Oui mais voilà, un jour je me mets à pêcher en bateau. Et là tout change.

Le nœud FG devient un incontournable.

Pourquoi ?

Lorsque l’on pêche depuis le bord, j’utilise des faibles grammages sur mes leurres. De 5 à 30 gr max.

Mais quand je pêche en bateau, je peux monter beaucoup plus haut : 45gr, 60gr etc.

A ces grammages, un nÅ“ud qui passe mal dans les anneaux de votre canne, et c’est la casse assurée.

Hors le nœud FG, au delà de solidité,  a cet avantage de très bien passer dans les anneaux.

Aussi il vous permettra de lancer loin.

Un noeud que vous devez impérativement connaitre et maitriser.

Attention, petit tips, ayez toujours un briquet tempête avec vous.

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Le Bar au tenya : Une pêche atypique

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Quand on pense pêche du bar, on pense pêche au leurre.
Quand on pense pêche au tenya, on pense pêche aux spariadae.

Mais imaginerait-on pêcher du bar au tenya ?

Pourquoi pas, mais pas de primes abord.

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Pas n’importe où ?

Pour ne rien vous cacher (comme dirait Chirac), je fut très surpris lorsque mon ami Sandro m’envoya la photo d’un bar qu’il venait de faire au tenya.

Nous avons tous deux découvert cette pêche ensemble. A la recherche de la Grise, du Sar, de la Vielle ou encore (et surtout) de Mme la dorade Royale.

Mais jamais il nous serait venu à l’idée de pouvoir pêcher le bar au tenya.

Les préjugés ont la vie dure.

On peut cependant compter sur mère nature pour nous faire vivre dans le vrai.

Cet été 2024 sera pour nous celui du bar au tenya !

Sargasses magiques ?

Mon acolyte et moi utilisons les mêmes tenyas et des appâts similaires (gambas).

Ceteris Paribus, la seule variable qui retient mon attention, ce sont les lieux où ont été fait ces bars : Dans une baie, sur des fonds peuplés de sargasses.

De drôles de combats

Un constat partagé : ces bars faits au tenya, nous ont offert de drôles de combats.

Aucun de nous deux ne se serait imaginé une seconde avoir un bar au bout de sa ligne, et pourtant.

Un 58cm pour moi, un 60cm pour Sandro.

La faute au matos ?

Je ne crois pas. Si je pêche sur une canne typée tenya / slow jig, mon complice, lui, est sur sa canne à bar.

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En conclusion :

Si c’était à refaire, je retournerai sur ces zones où les eaux se calmes, où la houles est absentes, et où les sargasses sont reines.

Loin des laminaires. La où il est normal pour le bar de trouver des crustacés, des arénicoles, des bibis et surtout, de la crevette.

Le bar fait partie de ces poissons qui, s’ils sont sur le crabe vous bouderont votre lançon, et vice-versa.

Il est donc normal de s’attendre à pouvoir faire sur du bar, là où il peut facilement se nourrir de crevettes.